Un dimanche de novembre. Le ciel est d’un bleu limpide. Soudain des centaines d’oiseaux migrateurs traversent le ciel dans un fracas étourdissant…
Cette vision fugitive mais puissante va bouleverser l’existence de Jérôme. La cinquantaine passée, il mène jusque-là une vie confortable : cadre dans une multinationale en région parisienne, en couple avec Fabienne depuis leurs études dans une école de commerce, sans enfants.
À partir de ce moment-là, l’existence de Jérôme bascule… Au repos forcé pour quelques jours, il se plonge dans ses racines, reprenant le fil de son passé, de cette province qu’il a quittée il y a plus de trente ans… Les souvenirs, heureux ou dramatiques, qui ressurgissent le poussent inexorablement à une complète remise en question. À sa manière, il va effectuer sa propre migration, vers un mode de vie radicalement différent, une échappée sur des routes de traverse, une relation retrouvée avec la nature.
Ce premier roman nous parle des migrations au pluriel, des liens à retisser avec la nature, de la force des sentiments et des relations humaines.